• Les archives historiques d'Aion

  • Cher Esnu, 

    Votre vie est en danger, je suis contraint d'agir. Pardonnez-moi, mais je n'ai plus le temps de vous expliquer.

    J'ai caché la lentille de quartz pour empêcher que quelqu'un ne découvre votre cachette. 

    la lentille de quartz est cachée dans un coffre au trésor dans une pièce située au sommet de l'escalier du mur d'enceinte dans le port d'Anair.

    Si vous recevez cette lettre, récupérez la lentille de quartz et allumez le phare. 

    Mes hommes et ton amie Aika sont responsable de cette terrible situation.

    Les pirates se sont liés avec Aika. Ensemble ils veulent mettre fin à tes jours et récupérer la clé du temple pour ne piller les trésors.

    J'ai caché la lentille de quartz. Je vais régler leur compte aux pirates pour punir Aika.

    Si mes plans échouent, je sais que tu seras en sécurité. 

    J'espère que nos chemins se croiserons à nouveau. Avec tout mon amour,  ton Hinden.


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  • Le brouillard n'est pas le seul ennemi des marins. Une mélodie captivante, une aria enchanteresse, embrume les esprits des équipages et a eu raison de maints navires.

    le chant des Seirens ravive les souvenirs, justes ou troublés, terribles ou heureux. Qui l'entend s'égare, et erre, l'âme vidée, dans ces brumes fabuleuses.

    Bercée par l'hypnose, il mène bien vite son navire sur de funestes récifs.

     

     

    On dit que les Seirens sont nées dans un palais, quelque part sous la mer. En dehors d'Atrèia, selon certains.

    Elles envoûtent les marins et les mènent à la mort. Ni cupides, ni capricieuses, ce n'est que par instinct qu'elles agissent ainsi.

    Selon la légende, lorsque les dernières heures d'une Seirens approchent, qu'importe la distance, elle s'en retourne à son lieu de naissance.

     

     

    A mesure que les récits contant leur nature merveilleuse se multiplièrent, pirates et marins prêtèrent aux Seirens des facultés innombrables et fabuleuses.

     Bien que cela troublât grandement les Daevas de la médecine, certains malades furent guéris après avoir mangé le coeur de l'une d'entre elles.

    Bien qu'elles soient souvent réfutées, de nombreuses rumeurs affirment que consommer le coeur d'une Seiren permet de connaitre l'ascension. 

     

     

    Bien peu sont ceux qui, sillonnant les mers, n'ont entendu les fantastiques récits décrivant le Temple de la trompette d'or, l'un des édifices mythiques les plus merveilleux de ce monde.

    Selon la légende, c'est là que sont rassemblés les innombrables trésors amassés par les Seirens, hors d'atteinte des voyageurs des mers.

    Dans les ténèbres des plus profonds abysses, dans une obscurité qu'aucun trait de lumière ne parvient jamais à percer, étincèlent de mille feux les montagnes de trésor des Seirens. 

     

     

    Le temple lui-même tire son nom d'un artefact merveilleux d'un indicible pouvoir, la trompette d'or.

    Cet instrument fabuleux fut fabriqué par un artisan captif des Seirens, au talent légendaire. Envoûté par leur chant, il investi son entière énergie et jusqu'à sa dernière once de créativité et d'inspiration dans ce chef-d'oeuvre grandiose.

    On dit qu'il mourut noyé après avoir achevé la merveille de sa vie, bercé par les mélopées hypnotiques de ses geôlières.

     

     

    La trompette d'or se serait capable, au besoin, d'émettre aussi bien une explosion cacophonique qu'un chant qui transformerait le plus terrible des seigneurs Balaurs en chaton ronronnant.

    Elle produit également de violentes lames de fond menaçant tout navire s'approchant trop près du temple, et risquant de le découvrir. 

    Aujourd'hui encore, lorsque les vents hurlent et que les vagues viennent s'abattre contre les coques fragiles, les marins apprennent aux jeunes moussaillons que la Trompette d'or déchaîne sur eux sa mélodie rageuse.

     

     

    Un jour, un étrange Daeva vient se saouler à la taverne d'un village. Il clamait a qui voulait l'entendre qu'il avait visité le Temple de la Trompette d'or. 

    Vêtu de guenilles, nul ne cru à son récit d'ivrogne ... jusqu'à ce qu'il produise devant leur yeux ébahis une petite cage dorée incrustée de joyaux.

    Le récit de la cage du temple se répandit comme une trainée de poudre. Si au petit matin le Daeva avait disparu, sa légende, elle, vit encore aujourd'hui. 


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  • 1. Classification des tribus 

    Les Maus forment une société tribale, et chaque clan possède sa propre culture et sa propre histoire.

    Il existe actuellement 7 tribus distinctes, réparties dans tout Asmodae. Certaines sont totalement indépendantes des Balaurs, d'autres au contraire leurs sont dévouées. Pour être plus précis, Les Maus Crin-d'argent et ceux de la Toison rouge sont indépendants, tandis que tous les autres peuvent être considérés comme des partisans des Balaurs.

    En fonction de leur lien avec Zemurru, le premier héros de leur espèce, les Maus peuvent être répartis en deux tribus majeures : l'ancienne et la nouvelle. Nous reviendrons sur ce point dans le chapitre 2.

     

     

    2. Histoire des tribus

    Dans l'ancien temps, il n'existait que 3 grandes tribus : la Griffe, la Toison et le Sourcil, ainsi que quelques clans mineurs.

    Zemurru rassembla alors tout les Maus sous 

     

    en cours ... un peu de patience 


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  • Sommaire :

    Chapitre 1 : La légion de l'illusion éclatante

    Chapitre 2 : Onlius, le protecteur rayonnant 

    Chapitre 3 : Teminisian le bel assassin 

    Chapitre 4 : Jouheian, le barde puissant 

    Chapitre 5 : Minorion, le guerrier magnifique

    Chapitre 6 : Kiminas le sorcier farceur 

    Chapitre 7 : La légion de l'illusion éclatante ? 

     

     

    Chapitre 1  : Lé légion de l'illusion éclatante 

    A l'époque ou les douze Seigneurs formaient les Daevas dans l'ordalie et où se déroulaient les guerres millénaires sans fin, il y avait une légion qui affrontait les Balaurs avec plus de courage que toute les autres.

    Elle se désignait elle-même comme la légion éclatante, car elle voulait être la lumière qui rendrait au monde l'espoir d'une libération de la tyrannie des Balaurs. 

    La légion était constitué des cinq membres Onlius, Teminisian, Jouheian, Minorion et Kiminas. A l'exception du général de brigade, les membres avaient moins de 20 ans, ce qui augmenta encore leur célébrité. 

    Mais après le Grand Cataclysme, on n'a plus jamais entendu parler de cette légion, qui avait donné un nouvel espoir aux gens. 

    Son nom a longtemps été transmis. Mais comme personne ne savait ce qui lui été arrivé, les gens ont fini par ajouter au nom de la légion le mot " Illusion ", elle est donc désormais connu comme la légion de l'illusion éclatante. 

     

     

    Chapitre 2 : Onlius le protecteur rayonnant 

    Onlius était le général de brigade et le plus ancien membre de la Légion de l'illusion éclatante. Il venait d'une petit village où il avait grandit comme petit fils unique d'un pêcheur.

    Lorsqu'il arriva dans une grande ville dans le cadre de ses études, il découvrit a quel point les gens souffraient à cause des Balaurs. Il décida de s'inscrire à l'Ordalie, où il accéda au rang de Daeva. 

    Son attitude fleur bleue et calme lui a souvent valu le mépris de ses camarades, mais il était encore plus froid et effroyable que tout les autres au combats. 

    Il était très froid et adroit et pouvait manier sans problème toutes les armes. Sous sa direction, la Légion de l'illusion éclatante a accompli de nombreux actes héroïques pour la protection d'Atréia. 

     

     

    Chapitre 3 : Teminisian, le bel assassin 

    Teminisian était le plus jeune membre de la Légion de l'illusion éclatante et connu pour sa beauté exceptionnelle à la fois auprès de ses amis et ses ennemis. 

    Petit déjà, son plus grand souhait était d'anéantir les Balaurs. Il a intégré l'Ordalie à l'âge de 13 ans, on il s'entrainait avec les adultes. Il a atteint le rang de Daeva en moins de trois ans.

    L'apparence divine de Teminisian se reflétait dans son élégance sur le champs de bataille. Personne ne pouvait le détourner les yeux de sa beauté. 

    Mais il avait tendance à perdre ou casser les objets qu'on lui confiait. C'est pourquoi les autres membres de la légion se faisaient apparemment du soucis pour lui. 

     

     

    Chapitre 4 : Jouheian, le barde puissant

    Jouheian été connu pour être capable de de maîtriser les ennemis de la Légion de l'illusion éclatante grâce à son apparence puissante. Il augmentait aussi la combativité de ses alliés.

    Il rêvait autrefois d'une vie calme et simple. Mais il finit par intégré l'Ordalie afin de protéger sa famille contre les attaques fréquentes des Balaurs. Il y a atteint le rang de Daeva à l'âge de 19 ans.

    En contraste avec son apparence extérieure, Jouheian était très fin et sensible. Aujourd'hui encore, on parle des larmes qu'il aurait versées le jour de son ascension au rang de Daeva en pensant a sa famille. 

    Avec son talent particulier pour la musique et le chant, il voulait aussi divertir ses camarades lorsqu'ils étaient loin de leur patrie. Mais c'est devenu une habitude avec le temps, c'est pourquoi ses camarades n'accueillaient plus ses prestations avec le même enthousiasme. 

     

     

    Chapitre 5 : Monorion, le guerrier magnifique

    Monorion était connu pour son apparence gracieuse. Grâce à ses réflexes rapides comme l'éclair et sa taille énorme, il pouvait maîtriser les ennemis de la Légion de l'illusion éclatante. 

    Son père était au service d'un ordre des chevaliers chargés de la protection de sa région d'origine. Il a intégré l'Ordalie sur recommandation du chef, où il atteint le rang de Daeva à l'âge de 17 ans. 

    La grâce de Minorion et son attitude chaleureuse ne lui valaient pas que de nombreux regards émerveillés. Comme il était très apprécié des dames, il obtint entre autre le surnom de " Coqueluche d'Atréia " 

    Il était aussi un fervent défenseur de l'ordre et de la hiérarchie, ce qui était probablement dû a l'influence précoce de son père. 

     

     

    Chapitre 6 : Kiminas, le sorcier farceur

    Le sorcier Kiminas était considéré comme le membre le plus intelligent de la Légion de l'illusion éclatante. Son intonation particulière dans la prononciation des formules magiques sur le champs de bataille lui valait une célébrité supplémentaire.

    En temps que fils du seigneur d'une petite ville, il avait toujours ressenti une certaine aversion pour ceux qui fuyait les attaques Balaurs. Afin de pouvoir protéger les citoyens de la ville, il intégra l'Ordalie où il atteint le rang de Daeva à l'âge de 17 ans. 

    Comme la plupart des nobles, Kiminas accordait aussi beaucoup d'importance à son apparence. Ses vêtements étaient toujours impeccable et il faisait particulièrement attention à son alimentation. 

    En raison de son amour des farces, il était souvent en conflit avec Minorion qui était beaucoup plus sérieux. Mais sur le champs de bataille, ils étaient les alliés les plus proches et se soutenaient toujours mutuellement.

     

     

    Chapitre 7 : La Légion de l'illusion éclatante ?

    La Légion de l'illusion éclatante est apparue au cours des dernières années des guerres millénaires. On n'a plus entendu parler d'elle depuis le Grand Cataclysme.

    D'après les souvenirs des Daevas de l'époque du Grand Cataclysme, cette légion d'élite a subit le même destin que de nombreux héros anonyme. 

    Il existe de nombreuses théories à propos de leur disparition. Certains voient la punition pour leur actes dans le Grand Cataclysme. D'autres croient qu'ils sont entrés dans le flux d'Ether pour détourner le Grand Cataclysme. Et certains affirment qu'ils n'ont jamais existé. Mais personne ne connait la vérité.

    Une vision romantique de cette légion qui a combattu dans les guerres millénaires et à l'époque du Grand Cataclysme peut consoler ceux qui ont été blessé lors du Grand Cataclysme. 


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  • Zannuto

    Membre éminent et respecté de Pandaemonium, il fit fortune en assurant le transport de Kisks dans les Abysses. Contrairement aux autres familles de Vanahal, aucuns de ses enfant ne connut l'Ascension.

     

    Kinterun, Maître armurier de Pandaemonium

    En plus d'être le plus illustre armurier de l'histoire ( n'hésitez pas à lui demander son avis sur la question ), il est également le tenant du titre de la compétition qu'organise annuellement les tenanciers de la Taverne d'Apellbine, " Combien d'injures  différentes pouvez-vous caser dans une seule et même phrase ", pour la 157e année consécutive. 

    Au cours de son règne, il a inventé nombres de jurons au nombres desquels " triples drakibouzouk ", " drakonouille ", " baltronche d'écaille ", et l'énigmatique autant qu'efficace " flerp ". 

     

    Soudan, le Boucher de Reshanta 

    Soudan est probablement le plus terrible guerrier des Abysses. Armé de sa puissante hache " Tranche-soleil ", il a décimé des légions entières d'Elyséens, mû par une hargne sans égale. 

    Il n'existe pas un seul Elyséen qui ne tremble pas à la vue de son étendard ensanglanté. Nul ne sait ce qui motive ce terrifiant soldat de la destruction, mais il apparaît clair qu'il ne trouvera le repos que lorsque le dernier Elyséen rendra son ultime souffle. 

     

    Armandino et Batali, Daevas cuisiniers 

    Tous les deux chefs émérites, le père et le fils sont d'éminents spécialistes de la saucisse. Alors qu'à leurs débuts, ils n'utilisaient que des ingrédients relativement communs comme les Ksellids ou les Brax, ils étendirent leur activité après avoir découvert que, préparés avec art, les Balaurs étaient tout entiers comestible. 

    Maître dans l'art du maniement du couteau, ils contribuent allègrement à la nutrition comme à la défense d'Asmodae. 

     

    Sarayon, Daeva sylvestre

    Sarayon refusa de prendre part a la Guerre des Abysses, préférant se dévouer à la protection de la Forêt de Moslan. Craignant que son insubordination ne fasse des émules, les Seigneurs Shédims envoyèrent une Légion entière dans les bois pour la traquer.

    Après une semaine de recherches, la Légion revint bredouille. Si personne, depuis, ne l'a jamais revue, les forestiers traversant les bois racontent souvent, au revenir de leur excursions, s'être sentis protéger par une mystérieuse présence bienfaitrice. 

     

    Ulut, Daeva de la Chance

    Lorsqu'il était humain. Ulut fit un jour un pari avec Marchutan, le Seigneur du Destin, affirmant qu'il accomplirait un jour son ascension, mais ce dernier prophétisa que tel n'était pas son destin. 

    Ulut lui rétorqua que c'était le hasard et non le destin qui façonnait l'univers et partit tenter son ascension. Un an plus tard, il revint, une paire d'ailes dans le dos. Marchutan tint parole et déclara qu'Ulut, serait désormais connu sous le titre de Daeva de la Chance. 

     

    Rikjluk, Daeva de l'insatisfaction

    Rikjluk ne parvenait jamais à trouver une tâche qui lui seyait. Il trouvait les combats de la Guerre des Abysses trop violents à son goût, et lorsqu'il s'essaya à la guérison d'âme, il trouva ennuyeux d'attendre nuit et jour devant un Obélisque. 

    Poète, portefaix, prêtre ou potier, des décennies entières ne lui suffirent pas à trouver une activité qui lui convienne. 

     

    Deyla, Daeva de la deduction

    Deyla élucida nombre de crimes célèbres, au nombre desquels l'affaire du Balaur écarlate, celle du déplacement de Pandaemonium, le mystère du Kisk brisé, et bien d'autre encore. 

    Grâce, à la patience au sens du dévouement propre aux immortels, elle réussit à démêler chaque affaire. Quand bien même le crime aura été commis il y a plusieurs siècles, Deyla parviendra immanquablement à le résoudre. 

     

    Kaspar, Daeva du sublime

    Kaspar était connu pour sa conviction qu'on ne pouvait communiquer avec Aion que dans la solitude, au coeur d'une nature épargnée. Il fit des pics enneigés son temple et affirma entendre Aion dans le rugissement des tempêtes glacées. 

    Bien que ses théories soient tombées en désuétude il influença fortement nombre d'universalistes de l'Ether et de mouvement religieux. 

     

    Sifdal, Daeva sans inspiration

    Ecrivaint célèbre lorsqu'il était humain, après son ascension, Sifdal découvrit que quelle que fut sa détermination, il n'était plus capable d'écrire le moindre mot. Pris dans le tourbillon de l'éternelle parade de la vie, il observait ses pairs vivre leur vie sans jamais trouver l'inspiration. 

    L'immortalité avait privé Sifdal de toute sensibilité ... 

     

    Bartolom, Daeva des ailes arc-en-ciel

    Bartolom était un illustre alchimiste qui, un jour, défendit seul la forteresse de Kysis contre une invasion de Balaurs. N'utilisant que des matériaux trouvés dans la place forte, il élabora une multitude de potions diverses, explosives, empoisonnées et en tout les cas mortelles, pour repousser l'ennemi, tout en fournissant à ses frères vaincus des élixirs de soin et de force. 

    Lorsqu'une semaine après le début de l'assaut, les renforts arrivèrent, ils découvrirent que les innombrables opérations alchimiques qu'avait réalisé Bartolom avaient teinté ses ailes de reflets irisés. 

     

    Athelrig et Bradruc

    Le jour où Athelrig et Bradruc se rencontrèrent, il fut de suite évident qu'ils étaient les deux moitiés d'une même âme. Bradruc le guerrier chargeait au coeur du combat suivit d'Athelrig la Prêtresse qui guérissait ses blessures. Le visage souriant de Bradruc couvert de sang était la plus belle chose que cette dernière avait jamais vu.

    Après d'innombrables batailles ils se marièrent et partirent s'installer à Altgard où ils coulèrent une vie paisible. Leur amour a inspiré de nombreuses pièces ... auxquelles ils ont toutes assisté.

     

    Krantora, Daeva de la haine 

    Krantora jura de se venger du général Elyséen Taraion qui tua et déplaça sa meilleure amie dans les Abysses. Les deux s'affrontèrent maintes fois, mais tout Daevas qu'ils étaient, la mort ne représentait jamais plus pour eux que l'annonce d'un recommencement. 

    Elle chercha un jour à l'attirer dans les tréfonds des Abysses, loin de tout Obélisque ou Kisk, afin de l'éliminer à jamais ... Personne ne les revit jamais plus.

     

    Entoryn, Daeva des mensonges 

    La toile de manipulation d'Entoryn s'étendait dans tout Pandaemonium. On murmurait que les Seigneurs Empyréens craignaient son influence. Il n'avait confiance en personne excepter sa jeune et belle épouse. 

    Un jour sa tentative de devenir " l'éminence grise " de la ville échoua subitement : ceux qui lui étaient redevable l'ignoraient, nul ne pliait plus sous ses menaces. Sa femme, elle, le quitta, se contentant de lui lâcher dans un sourire : " il ne faut pas faire confiance à n'importe qui ... " .

     

     

     

     


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